jeudi 14 janvier 2016

3433 - JUSQU'À QUAND ? (suite) vont-ils nous faire croire que l’immigration polonaise, italienne ou espagnole (des européens de culture chrétienne) est équivalente à celle des arabo-musulmans du Maghreb ou du Machrek ?

Courte échelle des "collabos" islamo-gauchistes aux islamistes. Pourquoi ???


Courte échelle des "collabos" islamo-gauchistes aux islamistes. Pourquoi ???
Il ne se passe pas une émission télévisuelle évoquant peu ou prou l’immigration de masse « orientale » que subit l’Europe actuellement sans que ne soit évoquée la réussite de l’immigration d’origine européenne et sa parfaite intégration (de Gambetta l’Italien à Manuel Valls l’Espagnol, francs-maçons naturalisés Français à 20 ans).

La confusion des esprits est totale, tellement qu’elle ne peut être que délibérée sinon perverse.

Il faut appeler un chat un chat, sans haine et sans crainte et sans esprit discriminatoire une carpe est une carpe, un lapin est un lapin, un chat est un chat ! … Et un Causasien n’est pas un Maghrébin !!! Même s’ils sont tous les deux de race humaine

Un semblant de précision : les mœurs, ou la culture ou la civilisation européennes (pour ne pas dire la religion) des européens était la même, gréco-latine et judéo-chrétienne. Le mélange était possible. Les immigrés « orientaux » sont de mœurs, de culture ou de civilisation arabo-musulmane, c’est à dire issus des déserts arabiques.

Comme l’huile et l’eau sont des liquides (non miscibles), les Européens (de type Caucasien disent les ethnologues) et les Moyen-Orientaux sont de race humaine, certes, mais de variété, de culture, de mœurs et de civilisation, donc d’ethnies différentes. Il y a évidemment d’innombrables exceptions, en particulier lorsque l’éducation d’antan a joué sont rôle de creuset harmonisateur et civilisationnel.

« Le Français est une prise de guerre » a écrit Kateb Yacine.

« Au lendemain de l’indépendance [algérienne], l'arabe fut imposée comme seule réalité linguistique du pays par opposition au français synonyme de colonialisme. Cinquante ans après l'indépendance, cette "suprématie" linguistique n'a peut être finalement épargné aucune langue existante y compris l'arabe scolaire des ravages de ce que A.Dourari appelle « la purification identitaire ».

La société profonde [algérienne] reste attachée au savoir et à la connaissance scientifique et désire la meilleure éducation pour ses enfants. Elle se doute bien que l’arabe n’est pas outillé à cet effet et a une attitude positive à l’égard du français et des autres langues étrangères. Les élites au pouvoir, y compris arabisantes, mues par le même souci, mettent leur progéniture dans les écoles étrangères à défaut. Hamida Mechaï

Lire et relire de Boualem Sansal, le remarquable: « Poste restante Alger. Lettre de colère et d’espoir à mes compatriotes. » Un livre anthologique dont la lecture devrait être imposée à ceux, incultes, qui nous gouvernent si mal. Sans parler de son dernier opus, prémonitoire : « 2084 »
« Du mimétisme au fanatisme il n’y a qu’un pas. » […] « Or, on ne peut oublier cette fatalité : tout croyant trouvera sur sa route plus croyant que lui. »

Lire et relire les ouvrages fondamentaux de Malika Sorel : « le puzzle de l’intégration », « Décomposition française »…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire